Dénonciation d'avoir falsifié mon accident circulation trajet tra

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bonjour
Quant le pouvoir et l'argent transforme toutes les impuissances en leur
contraire....Comment mon ex patron peut il vivre avec sa conscience. ???
Pense t'il à ce qu'il m'a fait et aux conséquences ???....
Lisez moi sous serez horiffié ....
Je ne lui est rien demandé il ne m'a rien offert je n'ai donc rien accepté ,
je dis la vérité alors franchement même si de longues années ce sont
écoulées aujourd'hui mes blessures ne sont pas refermées j'ai donc envie de
dénoncer cette injustice restée impunie , la cause de son silence et
l'igorance m 'humilie et en est la raison surtout quant mes douleurs se
reveillent, je l'imagine couler sa retraite dorée alors que ma vie
professionnelle et physique fut sacrifiées à cause de ses actes illégales sans
soucis de réparation Il aimait être connu et remarqué j'éspère qu'après ces
27 années passées il sera reconnu sous son vrai visage et identifié sous
cette autre forme de patron ripou ou la malhonnêteté a davantage de classe
quant elle sert à acheter des signes de respectabilités , c'est étrange que
certains commettent des délits alors qu'il y a tellement de façons légales
d'être malhonnête...
J'assure ces propos qui sont les miens et je jure sur l'honneur que tout ce
qui est dit dans ce texte est vrai et avec beaucoup de retenues en
plus..certificats et documents à l'appui….
' Présentation brève..'
.. Suite à un accident de circulation pendant mon temps de travail avec ma
voiture personnelle.. en effet j'ai accepté de lui faire une livraison car il
manquait ce jour là de livreur, dés qu'il a été informé de l'accident il c'est
précipité à l'hôpital non pas pour prendre connaissance de l'étât de mes
blessures mais pour se rendre aux service des admissions ou était en étât
d'enregistrement l'accident et à croire que certains patrons ont tous les
pouvoirs ! il a fait annuler l'admission de l' accident de la circulation dans
l'exercice de mon travail et fait remplacer par un accident promenade c'est
à dire hors de mon temps de travail ce qui eu pour conséquence d'être
pris en charge en régime maladie aux regard de la sécutité sociale , par
crainte d' être pénalisé à cause de m'avoir fait livré son client avec mon
véhicule m'a t'il dit,.
RESUM E :
1983, Je suis embauché dans cette entreprise de boucherie CDEC Vente de
viande en gros et demi-gros pour collectivités, restaurants et particuliers à
Champigny sur Marne, une douzaine d'ouvriers y travaillent dans une
ambiance familliale .
Monsieur xxxxxxxx Jean Paul PDG et Monsieur René xxxxxxx associé sont aux
commandes depuis 1 an seulement c'est donc un lancement.Jamais je
n'avais croisé de si bons patrons vraiment, je me suis même vu attribué
une augmentation de salaire dés mes premières heures de travail, tout était
réuni pour nous donner coeur à l'ouvrage, rien était négligé que d'éloges,
apéritif à la fin du travail de 13 heures nos horaires étaient 4h30- 13
heures, repas de fin d'année avec distributions de cadeaux, primes de fin
d'année et j'en passe... j'étais en charge de la fabrication de saucisses ,
merguez chippolatas, un vrais travail de rapport financier pour mes
patrons, des dizaines de palettes de viande sous vide – tranchée- piècées etc
en partance vers les collectivités, restaurants etc.. ; journellement par
palettes entière des centaines de kilos de merguez et saucisses étaient
réalisées par mes soins m'obligeant très souvent à dépasser mes horaires de
travail mais peu importe, que peut on refuser à de si bons patrons..A vue
d'oeil l'entreprise prend de l'ampleur , les affaires se font, quelques années
de choux grâs puis peu à peu l'ambiance patronale change.. le succès, la
réussite donne un goût de vouloir plus... le ton change et se fait moins
familier et plus autoritaire, ont inflige des règles de sévèrité, les avantages
aussi s'apauvrissent en quelques années seulement plus de repas de fin
d'année, plus de cadeaux et..progressivement plus de prime déjà en premier
pour ceux qui avait été absents dans l'année pour cause de maladie ou
accident et puis généralisé à tout le monde très rapidement.
LES FAITS-LA CONCLUSION ET LES CONSEQUENCES.
Le 3 novembre 1986 alors que j'étais à mon poste de travail le chef est
venu me voir m'ordonnant d'aller livrer le restaurant -Snack-Café à Champigny sur Marne car il n'y avait pas de livreur disponible ni
véhicule de livraison ce qui m'obligeait à prendre ma voiture personnelle
bien que j'hésitai j'ai cèdé devant la supplique du chef.. et ce fut l'accident
avec un autre véhicule ..Transporté sans connaissance à l'hôpital Saint
Camille de Bry sur Marne par le SAMU 94
je présentais un traumatisme crânien, perte de connaissance, otoeagie
gauche, fracture du rocher,,
des plaies occipitales à droite, des fractures 7ème – 8ème- 9ème côtes
gauche...
Comme je l'ai dis plus haut mon patron averti par l'hôpital s'empressa de
venir accompagné de sa comptable, non pour connaître l'étât de mes
blessures ' bien qu'il ai fait une brève apparition au pied de mon lit
d'hôpital pour me demander texto ''ce que je foutais couché ! '' mais son
soucis était de faire annuler la déclaration d'accident du travail par un
accident hors du travail inventant que je ne travaillais pas ce jour là ... ! du
coup l'accident du travail se transforme en régime maladie au regard de la
sécurité sociale , il a osé me donné '' 600 euros à peine environ'' pour
remplacer ma voiture hors d'usage, cette somme apparue sur ma fiche de
paye comme prime exceptionnelle …. j'ai repris le travail le 15 décembre
1986, mon étât ayant entrainé une incapacité temporaire totale et là un
acharnement de harcellement à commencé contre moi tout était entrepris
pour que je démissionne ..j'étais devenu gènant, mis au placard en terme
de harcellement, humiliation, agression verbale limite injurieuse en
permanence surtout de Monsieur Jean-Paul ' mon patron' comme ont
l'appelait , humiliation, j'étais devenu une proie, un défouloir, l'homme à
éliminer du circuit travail, je devais démissionner à tout prix mais je
n'avais rien à me reproché j'ai donc subit mais tenu bon fort de mon
mental et mon expérience par contre mes blessures me faisaient souffrir
accentuées par une importante perte d'équilibre je risquai l'accident à tout
moment et des accouphènes à tomber fou par moments . En 1993 j'ai du
subir une neurectomie vestibulaire à l'hôpital Lariboisière... déstruction du
nerf véstibulaire par trépanation afin de tenter une compensation de
l'équilibre mais sans beaucoups de résultat ..cophose gauche ce qui veux
dire que je suis sourd à vie du coté gauche..traumatisme profond...... .et à
cause de cet odieux mensonge j'ai vécu une véritable galère tant dans la
bataille des assurances entre expértises contre-expértises que dans mes
souffrances endurées il n'y a qu'à voir les séquelles, actes chirurgicaux,
trépanations etc... nourri par toutes ces souffrances mon corps meurtri n'a
plus de défense et laisse apparaitre subitement une maladie visuelle .Je fut
mis en invalidité 2ème catégorie par la CRAMIF avec indemnités
journalière au tarif maladie,je peux dire que j'ai connu la dureté de la vie
et ma famille aussi n'oublions pas que j'avais 37 ans, j'étais marié avec
deux enfants en bas âge ..
Je me souviens que ce cher patron m'avait dit bien avant de ne pas me
soucier et que les assurances paieront les préjudices ce qui fut fait bien sûr
mais si peu à coté de mes souffrances endurées car pour lui il n'y avait que
l argent qui pouvait me consoler jouant sur le fait que je lui demandai des
acomptes sur salaires assez régulièrement à l'époque donc une sinistrose
patente ferait oublier mes bobos .. qu'elle foutaise !
Aujourd'hui j'ai 64 ans je perçois une maigre retraite et une petite
allocation d'handicapé visuel sans aucune autre allocation ni rente
d'accident ni aide et je vis toujours avec des douleurs,une perte
d'équilibre et les accouphènes sont toujours là.
Ce patron a laissé place de son entreprise à ses enfants depuis 2005, je ne
voudrai pas qu'il y ai confusion j'insiste sur le fait que c'est Monsieur Jean-
Paul xxxxxxxxx dont je parle et coupable en personne
d'avoir camouflé mon accident de travail en régime maladie de la façon
sus-citée lors de mon accident de la circulation pendant le temps de travail
vers 9 heures du matin environ le 3 novembres 1986 et ses suites
d'aggravations encore aujourd'hui...
Le personnel de l'époque a assisté à cela mais encore.. Le Chef ' c'est lui
qui m'a envoyé livrer', L'associé Monsieur xxxxx même s'il était absent ce
jour là il était au courant bien sur puis les comptables … et tout ce petit
monde se rangeait aux cotés de Mr Jean-Paul voyons... !
pour info je suis après échapper à un cancer de la gorge je suis
laryngectomisé mais je reste peiné par celui qui a été mon patron pendant
12 ans..Que je respectais tant mais qui a oser mentir aux organismes de la
sécurité sociale pour avoir dérogé à ses obligations dont le but a été de me
mettre dans cette situation alors que moi je lui ai apporté tout mon devoir,
tout mon courage , toutes ma confiance, toute ma force, tout mon coeur et
mon savoir … n'est ce pas dxxxxxxxxx qu'il m'a fait ?....
Serge xxxxxxxx

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Lag0 Administrateur

Bonjour,
J'avoue ne pas avoir réussi à lire jusqu'au bout.
Je n'ai pas remarqué de question juridique précise dans ce message qui risque d'en décourager plus d'un de par sa longueur.
Peut-être serait-il judicieux, si vous voulez avoir des réponses juridiques de refaire un message condensé où vous exposeriez clairement vos questions afin que les intervenants puissent y répondre.

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Vous avez raison j'ai concentré ce texte merci.
Le 3 novembre 1986 alors que j'étais à mon poste de travail le chef est venu m'ordonner d'aller faire une livraison bien que ce ne soit pas mon travail car il ni avait pas de livreur disponible ni véhicule de livraison ce qui m'obligeait à prendre ma voiture personnelle. Ce fut l'accident avec un autre véhicule ..Transporté sans connaissance à l'hôpital Saint Camille de Bry sur Marne par le SAMU 94 .Je présentais un traumatisme crânien, perte de connaissance, otoragie gauche, fracture du rocher,, des plaies occipitales à droite, des fractures 7ème – 8ème- 9ème côtes..Résultât..
..Incapacité temporaire totale jusqu'au 15 décembre 2006.. Reprise de travail, harcelé agressé verbalement... tout y passait mais suite aggravation en 1993 j'ai du subir une neurectomie vestibulaire à l'hôpital Lariboisière... destruction du nerf vestibulaire par trépanation afin de tenter une compensation de l'équilibre..cophose gauche je suis sourd à vie du coté gauche ..traumatisme profond, Je fut mis en invalidité 2ème catégorie par la CRAMIF avec indemnités journalière au régime maladie,
J'avais 37 ans, j'étais marié, deux enfants en bas âge
.Seulement voilà le jours de l'accident mon patron c'était rendu immédiatement à l'hôpital avec la comptable et fait annuler accident du travail par un accident promenade en gros que je ne  travaillais car il a craint des représailles à cause qu'il m'avait fait livrer avec mon véhicule perso m'avait il dit. Voilà pourquoi j'ai perçu des indemnités journalière au régime maladie et que je ne perçois aucune rente d'accident du travail.
Aujourd'hui j'ai 64 ans je perçois une maigre retraite et une petite allocation d'handicapé visuel, aucune autre allocation ni rente d'accident et je vis toujours avec mes douleurs, une perte d'équilibre et les acouphènes sont toujours là.
Ce patron a cédé son entreprise à ses enfants depuis 2005
Sans y croire trop y a t'il recours pour faire reconnaître la vérité c'est à dire accident du travail svp.... Merci.
''Mais pour les pures précisions il faudra retourner à mon premier post..'' merci pour l'attention que vous apporterez.
Serge. S.