Achat scooter inutilisable apres quelques kms

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Bonjour,

J'ai fais l'acquisition le 24 Juillet 2009 d'un scooter APRILIA SR 49 CM3 d'occasion, au magasin XBIKE de Cogolin dans le Var, pour un montant de
1 100. € TTC.

Ce scooter était sous garantie pendant 3 mois pièces et main d'oeuvre ;
seulement 15 jours après son achat, nous avons connu une première panne qui nécessaitait de changer une pièce importante du moteur. Après plus de 2 mois d'immobilisation, ce scooter nous a enfin été rendu... il roulait, mais avec des bruits bizarres et ni les feux arrière ni les phares ne fonctionnaient plus.

Nous avons alors demandé une nouvelle réparation, le scooter étant toujours sous garantie, mais le garagiste s'est dit alors trop occupé pour s'en occuper.

A de nombreuses reprises, nous avons essayé de programmer un rendez-vous pour faire effectuer ces réparations, sans succès : ce n'était jamais le bon moment, le mécanicien était toujours débordé.

Le responsable du magasin nous a alors proposé de reporter la garantie et de lui rapporter le véhicule à une période plus calme, ce que nous avons accepté du fait que le véhicule devait rester inutilisé une longue période, l'utilisateur étant hors département pendant plusieurs mois.

La semaine dernière (ce scooter n'avait plus été réutilisé jusque là) il a suffit d'un aller sur Sainte-Maxime, soit 10 kms, pour qu'il retombe en panne ; quand nous avons informé le responsable d'XBIKE de la situation, il nous a été répondu qu'il n'interviendrait plus sur ce scooter car "il ne savait pas le réparer et que nous n'avions pas eu de chance, que nous étions mal tombés..."

Ce garagiste nous a facturé un scooter 1 100 € alors que nous n'avons même pas pu effectuer 100 kms et qu'il est maintenant complètement inutilisable.

Je vous serais très reconnaissante de bien vouloir m'indiquer si j'ai un recours dans une telle situation que je considère comme une escroquerie, les engagements du vendeur n'ayant absolument pas été tenus.

Avec tous mes remerciements, recevez mes plus cordiales salutations,
Corinne MECS